Mimizan, Mimizan, trois minutes d'arret...et 44 points dans la musette
Pour ce dimanche, déplacement à Mimizan qui, ma foi aurait pu plusmal se passer. Merci à Eric, Pierre, Jean charles et Cédric pour être venu
jouer et renforcer l'équipe première. Certains diront que c'est normal, moi
j'y vois plus des joueurs qui ont un esprit de groupe, de club.
Une entame de match difficile. Mais on s'en sort bien. Premier essai au bout
de quinze minutes .......qui me laisse beaucoup de regrets ( petit coté avec
quinze intercalé - prévisible .....même de la touche ......). Je ne passerai
pas en revue tous les essais. Mais on dira que le groupe est encore fatigué
de la charge de travail accomplie depuis Aout. Que au bout d'une demi heure
de jeu, j'ai préférai faire tourner tout le monde pour éviter les blessures
au détriment d'un jeu collectif cohérent . Que les essais que l'on prend
sont surtout sur des actions de récupérations par l'adversaire (aucune
reconstitution rapides de rideaux défensifs). Bref que deux niveaux de
différence entre les deux équipes sont bien une réalité. Mais en bon
"basque" (comme dirait le président) mon coup de gueule va aller à tous ces
déchets que nous avons produits et qu'il faut à tout pris gommer ( touches
et pénalités jouées à la main dans les 10 mêtres adverses IMPRODUCTIVES,
coup de pied de dégagement approximatif à trois reprises, mauvais lancers en
touche, pas assez de variété dans nos lancements de jeu).
Homme du match pour nous : MATTHIASSSSS pour sa grosse prestation défensive.
Bon sur ce , RDV à mercredi pour continuer à travailler.....
Le coaaatche
Eric
1 commentaires:
Journée de rêve pour ce match à Mimizan. Température parfaite, pas
de vent, pas de soleil à apprivoiser, une pelouse digne d'un match
international. L'après midi s'annonçait belle. Et elle le fut !!
Des l'entrée aux vestiaires, le groupe s'est refermé sur lui-même
pour mieux se souder, se préparer au combat. A tel point qu'au
moment du coup de sifflet de l'arbitre, la concentration de chacun
était maximum avec un seul objectif : la victoire… et avec la
maniere, pourquoi pas !
Quel début de match ! Pendant 15 minutes et malgré les assauts
incessants des autochtones particulièrement déterminés de faire
valoir leur droit du sol, notre défense tient bon et se permet même
de marquer 3 points pas la botte magistrale de Benoît Lesbats.
Et la suite n'est pas moins glorieuse. Il fallu à l'équipe adverse
l'aide de l'arbitre qui n'a pas fait montre d'une grande mansuétude
en accordant un essai de pénalité contestable.
A cela s'ajoute la sortie prématurée de Laurent Chassaque. Couché au
sol notre colosse a mal. Malheureusement ce n'était pas un simple
pithiatisme et il du céder sa place. Mais l'ASPTT repart au combat
pour arriver à l'acmé de son jeu en fin de première mi-temps. Des
charges homériques de Mathias, aux passes limpides de nos arrières,
tout s'organise pour la victoire.
A la mi-temps le discours de l'entraîneur est tout sauf abscons :
defense, systeme de jeu, mental,.. Tout y passe. L'équipe repart
gonflée à bloc pour la deuxième mi-temps.
Retour au combat, âpre, dur, rugueux. Acculée dans ses 5 mètres les
adversaires ont peur. La détermination d'un Jean-Paul Barjou,
véritable Viking à la guerre, se lit dans ses yeux. Les combinaisons
fusent. En touche les lancers sont millimétriques. Du banc, Eric
Lorreyte se lance dans des psittacismes magnifiques. Mon dieu, mais
il y a du Bernard Laporte dans cet homme là !
La fin approche et rien n'est fait. La pression montant d'un cran,
les esprits s'échauffent.
Mais l'arbitre coupe nos athlètes dans une dernière course qui leur
aurait amené la victoire sans aucun doute. Mimizan gagne à
l'arrachée une victoire si peu méritée. Qui aurait pu le subodorer ?
Mais il aura un match retour. Un tout autre match. Alors rendez vous
est pris.
REMI Journaliste officiel de L'asptt
(Article commandée par les dirigeants)
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